Vivre
Après la conciliation il se passe du temps avant que le divorce soit prononcé, entériné.
Durant ce laps de temps on est censé se tenir à carreaux.
Je ne sais pas pourquoi.
Je ne le fais absolument pas.
JE M' ECLATE !
Les enfants aussi.
Nous allons à tous les fest-noz à 20 bornes alentour, autrement dit tous les vendredis ou samedis soirs.
Nous allons partout où ils peuvent s'amuser, où nous pouvons rencontrer des gens.
J'ai une soif de contacts insatiable.
De contacts publics j'en arrive aux contacts plus privés.
Je m'intègre dans un groupe de copains-copines qui acceptent les enfants sans problèmes.
Nous passons du temps ensemble, faisons la fête, rions.
Rire, que c'est bon, j'ai du rire en stock, je le donne à tous vents, mes poumons s'élargissent de bonheur.
Nous apprenons les danses bretonnes, surtout mes petiots.
Ils adorent quand nous rentrons dans la salle, ils se cachent sous ma grande cape pour faire comme si ils rentraient en " voleurs " alors qu'ils savent bien que pour les enfants l'entrée est gratuite !
En fait, un rien nous amuse.
Je m'inscris à un stage de dulcimer, le cousin de l'épinette des Vosges. Il se déroule sur deux jours à l' auberge de jeunesse.
Le 2è jour, une copine vient me dire que mon fiston ne va pas bien. Je vais le voir et le trouve tout triste dans son coin, loin des autres enfants qui jouent.
Nous discutons tous les deux et je décide de rentrer à la maison.
Il a retrouvé son sourire et nous chantons en voiture le temps du retour.
Bain, dîner devant un dessin animé.
Le calme nous fait du bien.
Au dessert mon gaillard éclate de rire ! Il me regarde et me dit, secoué par son rire, " je t'ai bien eu ! "
Je prends note, riant moi aussi...
Durant ce laps de temps on est censé se tenir à carreaux.
Je ne sais pas pourquoi.
Je ne le fais absolument pas.
JE M' ECLATE !
Les enfants aussi.
Nous allons à tous les fest-noz à 20 bornes alentour, autrement dit tous les vendredis ou samedis soirs.
Nous allons partout où ils peuvent s'amuser, où nous pouvons rencontrer des gens.
J'ai une soif de contacts insatiable.
De contacts publics j'en arrive aux contacts plus privés.
Je m'intègre dans un groupe de copains-copines qui acceptent les enfants sans problèmes.
Nous passons du temps ensemble, faisons la fête, rions.
Rire, que c'est bon, j'ai du rire en stock, je le donne à tous vents, mes poumons s'élargissent de bonheur.
Nous apprenons les danses bretonnes, surtout mes petiots.
Ils adorent quand nous rentrons dans la salle, ils se cachent sous ma grande cape pour faire comme si ils rentraient en " voleurs " alors qu'ils savent bien que pour les enfants l'entrée est gratuite !
En fait, un rien nous amuse.
Je m'inscris à un stage de dulcimer, le cousin de l'épinette des Vosges. Il se déroule sur deux jours à l' auberge de jeunesse.
Le 2è jour, une copine vient me dire que mon fiston ne va pas bien. Je vais le voir et le trouve tout triste dans son coin, loin des autres enfants qui jouent.
Nous discutons tous les deux et je décide de rentrer à la maison.
Il a retrouvé son sourire et nous chantons en voiture le temps du retour.
Bain, dîner devant un dessin animé.
Le calme nous fait du bien.
Au dessert mon gaillard éclate de rire ! Il me regarde et me dit, secoué par son rire, " je t'ai bien eu ! "
Je prends note, riant moi aussi...