Croyances et sorcellerie.
Nous n'étions pas au fin fond de la province profonde mais les conneries avaient encore de beaux jours devant elles !
Ainsi ma belle-mère faisait la lessive de mon bébé car comme je l' allaitais il ne fallait pas que mes mains touchent de la lessive...
Non seulement je ne voulais que du savon en paillettes pour cet usage mais dès qu'elle n'était pas là je prenais plaisir à laver en cachette 2 ou 3 petites choses, rien que pour ne pas devenir dingue. Mises à sécher avec le reste ça passait inaperçu.
Il aurait fallu, selon une tante, et il y en avait des tantes ! à la pelle, que je glisse je ne sais plus quelle herbe magique dans mon soutient gorge pour ne pas attraper de crevasses.
A mon avis c'était plus un truc pour masquer les odeurs, datant d'une époque où l'hygiène n'était pas quotidienne... !
Je devais porter en permanence un gilet ou pull en laine car prendre froid tarirait inéluctablement le lait.
Je ne craignais pas grand chose de ce côté là ! Une vraie laitière, j'avais fait le nécessaire pour en faire profiter le lactarium.
L'été 1968 fut chaud, l'automne aussi, je ne portais que des chemisiers légers à manches courtes. " On " me faisait la tronche.
Je devais nourrir à heure fixe ma fille, pour qu'elle ne prenne pas de mauvaises habitudes, évidemment je la nourrissais quand elle le demandait, y compris la nuit.
De même qu'il fallait la laisser pleurer car cela lui faisait les poumons.
Je clamais haut et fort que je l'avais faite aussi entière et finie que possible.
Je prenais tout cela avec patience, à quoi bon s'énerver ? Nous allions emménager à 100km de là dans peu de temps.
Ainsi ma belle-mère faisait la lessive de mon bébé car comme je l' allaitais il ne fallait pas que mes mains touchent de la lessive...
Non seulement je ne voulais que du savon en paillettes pour cet usage mais dès qu'elle n'était pas là je prenais plaisir à laver en cachette 2 ou 3 petites choses, rien que pour ne pas devenir dingue. Mises à sécher avec le reste ça passait inaperçu.
Il aurait fallu, selon une tante, et il y en avait des tantes ! à la pelle, que je glisse je ne sais plus quelle herbe magique dans mon soutient gorge pour ne pas attraper de crevasses.
A mon avis c'était plus un truc pour masquer les odeurs, datant d'une époque où l'hygiène n'était pas quotidienne... !
Je devais porter en permanence un gilet ou pull en laine car prendre froid tarirait inéluctablement le lait.
Je ne craignais pas grand chose de ce côté là ! Une vraie laitière, j'avais fait le nécessaire pour en faire profiter le lactarium.
L'été 1968 fut chaud, l'automne aussi, je ne portais que des chemisiers légers à manches courtes. " On " me faisait la tronche.
Je devais nourrir à heure fixe ma fille, pour qu'elle ne prenne pas de mauvaises habitudes, évidemment je la nourrissais quand elle le demandait, y compris la nuit.
De même qu'il fallait la laisser pleurer car cela lui faisait les poumons.
Je clamais haut et fort que je l'avais faite aussi entière et finie que possible.
Je prenais tout cela avec patience, à quoi bon s'énerver ? Nous allions emménager à 100km de là dans peu de temps.