Supplique pour vous tous.
Depuis quelques articles, je vous raconte mes états d'âme en rapport avec mon hospitalisation prochaine.
Ablation de l'utérus et des ovaires.
La détérioration de mes organes n'est pas venue comme ça, en claquant des doigts.
Pour commencer je suis restée quelques années sans consulter un gynécologue.
Ce n'est pas bien. Il est important d'avoir une surveillance régulière de sa santé.
Je " fréquentais " tellement le milieu médical que j'ai " oublié " ce suivi là.
Un jour, le centre de santé de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie m'a proposé de faire un bilan.
On peut en faire un tous les cinq ans.
Pour moi c'était le premier.
Sécurité Sociale !
Ça ne signifie pas seulement : remboursements de frais divers et paperasses ennuyeuses...
Ça concerne la SECURITE SANITAIRE de notre SOCIETE, de nous, de nos proches.
On ne voit pas souvent cet organisme sous cet aspect.
Le bilan fut fait. Je reçus le compte rendu.
Il fallait des examens complémentaires sur le plan gynécologique.
Ne jouant pas l'autruche, je fis le nécessaire.
Un an auparavant, déjà, à la suite d'une mammographie systématique pour les femmes de mon âge, j'avais subi l'ablation de deux tumeurs, une dans chaque sein.
Bénignes les tumeurs... Ouf !
Résultats des divers examens et analyses : j'avais un papillomavirus.
Merde alors !
Aussi bien ( mal ) je l'avais depuis des années.
Impossible de savoir ni depuis combien de temps, ni avec qui je l'avais contracté.
Dans un premier temps on m'enleva des condylomes dont j'ignorais la présence.
Dans un deuxième temps on me fit une cônisation utérine.
Et le troisième temps de cette valse invasive est pour mardi prochain.
Si vous ne vous faites pas suivre régulièrement, vous pouvez, comme énormément de personnes, hommes et femmes, être porteur-se de ce papillomavirus.
La famille de ce virus est immense.
Pour dépister des condylomes il faut un examen très précis, avec loupe, car les " verrues " peuvent être minuscules.
Toutes les informations nécessaires à votre gouverne, si vous êtes un tant soit peu curieux, et j'espère que vous l'êtes, sont sur internet.
Goggle : papillomavirus...
Il existe un vaccin à destination des jeunes filles qui n'ont pas débuté leur vie sexuelle.
Il est important de faire vacciner les adolescentes.
On considère qu'au delà de deux partenaires c'est trop tard.
Je ne parle là ni de morale, ni d'éducation.
Il y a des gestes qu'il faut faire, sans se poser de question.
J'en sais qui sont porteurs de papillomavirus...
Il est de leur responsabilité d'agir, d'arrêter de temporiser.
Pour eux, elles, nous tous.
La vie sexuelle est dure pour les générations qui montent depuis l'arrivée du SIDA.
Pourquoi ne pas faire ce qu'il faut quand on peut le faire ?
Ne soyez pas aussi con que je l'ai été, agissez.
Ablation de l'utérus et des ovaires.
La détérioration de mes organes n'est pas venue comme ça, en claquant des doigts.
Pour commencer je suis restée quelques années sans consulter un gynécologue.
Ce n'est pas bien. Il est important d'avoir une surveillance régulière de sa santé.
Je " fréquentais " tellement le milieu médical que j'ai " oublié " ce suivi là.
Un jour, le centre de santé de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie m'a proposé de faire un bilan.
On peut en faire un tous les cinq ans.
Pour moi c'était le premier.
Sécurité Sociale !
Ça ne signifie pas seulement : remboursements de frais divers et paperasses ennuyeuses...
Ça concerne la SECURITE SANITAIRE de notre SOCIETE, de nous, de nos proches.
On ne voit pas souvent cet organisme sous cet aspect.
Le bilan fut fait. Je reçus le compte rendu.
Il fallait des examens complémentaires sur le plan gynécologique.
Ne jouant pas l'autruche, je fis le nécessaire.
Un an auparavant, déjà, à la suite d'une mammographie systématique pour les femmes de mon âge, j'avais subi l'ablation de deux tumeurs, une dans chaque sein.
Bénignes les tumeurs... Ouf !
Résultats des divers examens et analyses : j'avais un papillomavirus.
Merde alors !
Aussi bien ( mal ) je l'avais depuis des années.
Impossible de savoir ni depuis combien de temps, ni avec qui je l'avais contracté.
Dans un premier temps on m'enleva des condylomes dont j'ignorais la présence.
Dans un deuxième temps on me fit une cônisation utérine.
Et le troisième temps de cette valse invasive est pour mardi prochain.
Si vous ne vous faites pas suivre régulièrement, vous pouvez, comme énormément de personnes, hommes et femmes, être porteur-se de ce papillomavirus.
La famille de ce virus est immense.
Pour dépister des condylomes il faut un examen très précis, avec loupe, car les " verrues " peuvent être minuscules.
Toutes les informations nécessaires à votre gouverne, si vous êtes un tant soit peu curieux, et j'espère que vous l'êtes, sont sur internet.
Goggle : papillomavirus...
Il existe un vaccin à destination des jeunes filles qui n'ont pas débuté leur vie sexuelle.
Il est important de faire vacciner les adolescentes.
On considère qu'au delà de deux partenaires c'est trop tard.
Je ne parle là ni de morale, ni d'éducation.
Il y a des gestes qu'il faut faire, sans se poser de question.
J'en sais qui sont porteurs de papillomavirus...
Il est de leur responsabilité d'agir, d'arrêter de temporiser.
Pour eux, elles, nous tous.
La vie sexuelle est dure pour les générations qui montent depuis l'arrivée du SIDA.
Pourquoi ne pas faire ce qu'il faut quand on peut le faire ?
Ne soyez pas aussi con que je l'ai été, agissez.