Petit-suisse et banane.
Je dois passer une visite de contrôle, pour cela je me rends en train dans la ville de ses parents. Je ne sais plus pourquoi nous n'avions pas fait de changement d'adresse.
Pour que tout se passe bien pour ma fille je prépare son goûter que LUI devra lui donner.
Petit-suisse, banane, cuillère, assiette, lait, tout, tout, tout... Je lui laisse le déroulement des " opérations " sur une feuille bien visible.
Je rentrai vers dix-huit heures, la petite hurlait, LUI était en slip à son bureau.
Explications demandées, explications données pendant que je berçais pour la calmer ma fille hoquetante, je n'avais même pas enlevé ma veste.
Voila, me dit-il : j'ai bien fait ce qui était écrit sauf que tu avais oublié ( sic ) le bavoir. Je suis allé en cherché un puis je suis revenu, me suis assis... dans l'assiette que j'avais posée sur ma chaise. J'ai enlevé mon pantalon, il est dans la baignoire et j'ai recouché le bébé.
Que dire de plus ? Ma fille téta au sein, cela la consola sans doute un peu, je la gardais contre mon coeur, à cheval sur mon ventre où l'autre bébé vivait sa vie.
Elle s'endormit, repus. Des hoquets continuaient à la secouer par à-coups.
On me l'aurait raconté, parlant de quelqu'un d'autre, sûrement j'aurai ris, mais là, j'étais ahurie, hébétée, pourquoi devais-je supporter tant de bêtise ?
Pour que tout se passe bien pour ma fille je prépare son goûter que LUI devra lui donner.
Petit-suisse, banane, cuillère, assiette, lait, tout, tout, tout... Je lui laisse le déroulement des " opérations " sur une feuille bien visible.
Je rentrai vers dix-huit heures, la petite hurlait, LUI était en slip à son bureau.
Explications demandées, explications données pendant que je berçais pour la calmer ma fille hoquetante, je n'avais même pas enlevé ma veste.
Voila, me dit-il : j'ai bien fait ce qui était écrit sauf que tu avais oublié ( sic ) le bavoir. Je suis allé en cherché un puis je suis revenu, me suis assis... dans l'assiette que j'avais posée sur ma chaise. J'ai enlevé mon pantalon, il est dans la baignoire et j'ai recouché le bébé.
Que dire de plus ? Ma fille téta au sein, cela la consola sans doute un peu, je la gardais contre mon coeur, à cheval sur mon ventre où l'autre bébé vivait sa vie.
Elle s'endormit, repus. Des hoquets continuaient à la secouer par à-coups.
On me l'aurait raconté, parlant de quelqu'un d'autre, sûrement j'aurai ris, mais là, j'étais ahurie, hébétée, pourquoi devais-je supporter tant de bêtise ?